Jete hais, je me hais. Triste état d'esprit, ton absence se remarque, et je ne peux m'en remettre, Tu es si loin maintenant de l'autre côté de cet océan, c'était ton choix à toi, Tu as choisi de me quitter, alors que tu disais m'aimer, voilà mon désarroi ! Aujourd'hui tu vois d'autres gens, tu souris à d'autre hommes peut-être. Et moi je suis là comme un con, perdu dans ma
-33% Le deal à ne pas rater Jumbee Roundnet – Jeu de plein air à 29,99€ € € Voir le deal MÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. GALERIES ET CREATIONS AuteurMessageJames VaInvitéSujet désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] Ven 16 Juin 2006 - 2136 L'aveugle d'une souffranceLes coups, les larmes, le sangVoilà ce que je vois en toiVoila ma souffrance si intenseTu as posé ton regard sur moiJ’ai eu envie de mutiler ta chair, qui était le fruit de ton corps en transeUne lueur mauvaise était apparutMais toi tu n’avais rien vuTu ne vois jamais rien J’étouffeJe meurs un peu plus chaque jourMais ma peine est invisibleJ’ai l’impression que personne ne la voitMes regards étranges vers toiLes coups que j’endureLa vie n’est pas si douceLe bonheur n’est pas concentréJe n’arrive plus à respirerJe ne peux que rester Comme un cadavre, ignominieJe resterai à l’agonie toute une vieMa vie n’est que déceptionJ’entends un bruit, un avionLa télévision est alluméEncore un écraséIl n’y a que vous qui m’aillait redonné ce sourireEn votre douce compagnie je risPour la première fois depuis des moisBien sur tu ne le vois pasTu me répugneJe te haisEst ce normal maman ?Ce mot sonne fauxTu ne vois en moi que le reflet du père que tu as haïe J’attrape quelques objetsJe te les lance au visageTu me ris au nezTu attrape un cordage Je le réceptionneJe file dans ma chambre, mon seul refugeAvec cette cordeTu en payera les conséquencesJe passe ma tête dans la boucleJe cris une dernière paroleC’est la fin d’une vieMon corps sans résistance tient quelques secondes dans les airs Et retombe lourdement Le piège se refermeLa fin d'un souffranceLa fin d'un aveuglementTu ne pleureras meme pas à ma mise en terreTu sourira comme jamaisje t'ai donné ce que désirais tantMalheureusement...Les coups, les larmes, le sang ne seront plusRien n'abimera ton sol à présentPeu etre mon souvenir, qui sais...Maman, moi le mal aimé, tu m'as poussé dans un précipice sans finMais à présent j'espere que tu souffriras comme j'ai souffertAdieu, le plus tard possbile...Voila, premier texte, soyait pas trop dur, j'ai juste écrit avec mes doigts et parler avec mon coeur, rassuré vous, l'integralité de ce texte n'est pas véritable,voili voilou...Dernière édition par le Ven 11 Aoû 2006 - 1655, édité 1 fois InvitéInvitéSujet Re désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] Sam 17 Juin 2006 - 1223 ' Tain c'est vachement beau... J'te félicite, vraiment... C'est exactement ma situation et j'avais jamais réussi à l'exprimer, alors encore plus bravo... James VaInvitéSujet Re désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] Dim 18 Juin 2006 - 1841 - Les souvenirs...-Tous ses riresVont-ils s’effacer ?Toutes ses joiesVont-elles disparaître ?Toutes ses prièresVont-elles être exhausser ? Un gouffre se formeEntre moi et la viePar ton départ précoceTu me laisses une nouvelle fois seulJe ne te reverrai Que dans mes rêves et mes souvenirsJe t’ai découverteA l’agonieTu ne vivras plusEt c’est ma fauteTu ne souriras plusEt j’en suis la causeAlors j’ai décidé de te rejoindreA jamaisJe ne te laisserai plus jamais seuleAvec tes émotions et tes peursQui te dépassentLe monde tourne sans nousAlors pourquoi dois-je rester ?J’ai finalement décider de resterPour ta mémoire, pour ton espritEt pour ma culpabilitéJe veux pouvoir crier au monde entier Pourquoi tu as fait ce geste de détresseAlors que tu n’avais rien ditA bientôtToi que j’ai aiméEt qui m’a laisséMais je reste pour toiComme tu l’aurais vouluJ’espère que tu me voisEt que tu vois mes signesEn ta mémoireJe retourne quand je le peux Déposer quelques plantesUne roseUne pivoineEt une branche d’olivierSymbole d’espoirQue je garde pour toiDe vivre dans un monde meilleur… deuxième texte, je préfère le premier mais bo, je verrais bien^^Edit Khal' très joli aussi. J'aime bien... Dernière édition par le Dim 18 Juin 2006 - 2145, édité 1 fois Psyché AInvitéSujet Re désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] Dim 18 Juin 2006 - 1942 Wahou tu écris super bien c'est trés trés beau !! James VaInvitéSujet Re désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] Dim 18 Juin 2006 - 2149 merci beaucoup Khal et Psyché, ça me fait vraiment plaisirce n'est que mon deuxième texte et j'espère m'améliorer avec le tempsencore merci content que cela vous plaisent James VaInvitéSujet Re désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] Lun 19 Juin 2006 - 1808 ¤ La vie s’est arrêter trop tôt ¤Je ne te connaissait pasJe ne t’avais jamais adressé la paroleJe ne t’avais jamais regarder dans les yeuxEt pourtant, j’ai pleurai pour toiComme tout le mondeParce qu’on peut tous en être victimeJe suis passer en touchant le murTout le monde pleuraiPour ta mortPour ta mémoireToi qui avait une petite amieToi qui avait un frèreTa vie s'est arrêter trop tôtTout cela à cause d'un connardTout cela à cause d'un chauffardSuite à cette nouvelleUne jeune fille est partieDans l'intention de se jeter d'une falaiseTu es mort, elle aussiPour toiPour ton espritElle t’a rejointTu seras moins seulOù que tu soisQuoi que tu fassesTon enterrement s’est dérouler en silenceSeul ta famille pleuraitMais moi je restaisAucune larmes ne coulaient sur mes jouesEt pourtant je l’aurai vouluVraiment…Pardonne moiSi j’avais su Si j’avais vouluSi j’avais pu…Mais les regrets ne font pas avancer les chosesAlors j’ai décider d’accepterEt de vivre Pour toiEn l’honneur de ta mémoirePour ton visage lumineuxCette journée est grisée de noirSur mon calendrierJe passe devant un murTon nom est marquéPour que personne n’oublieLe drame de cette journée pluvieuseLa météo avait annoncé le beau tempsLa pluie était au rendez-vousHommage…histoire vrai, cela s'est passé l'année dernière dans mon bahut, le préfère les autres mais je voulais faire un hommage à ses deux personnes qui ont péris... Miley BranNombre de messages 804Age 30Maison SerdaigleAge du Perso 14 ansDate d'inscription 07/05/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Modératrice / Membre des 9Facultés Spéciales //Sujet Re désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] Lun 19 Juin 2006 - 1849 C'est vraiment très beau, j'adore le premier et le dernier. Le dernier parce que j'ai "vécu" plus ou moins la même chose dans mon école...Vraiment très beau ce que tu Khal' Tu sais déjà ce que j'en pense James... James VaInvitéSujet Re désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] Mer 21 Juin 2006 - 1724 merci nathalieoui Khal', je crois savoir^^ bon nouveau texte ¤PaRdOnNe MoI¤ Pardonne moiJe t’ai fait tant de malTant de peine …»Je rêvais toute les nuits D’entendre ses motsA mon oreilleMais tu es resté sourd à mon appel…Toi, mon père, tu es partiNous laissantSans scrupulesAujourd’hui je suis à la rueEt je t’appelleAujourd’hui je suis maladeEt je t’appelleMon mal ne se soigne Que par mon espritNe comprends tu donc rien ?Je me laisse mourirEn attendant de te voirEnfin…Tu ne t’es jamais Soucier de nousPourquoi cela changerait ?Il est trop tardTu as crut m’acheterTu t’es tromperOn ne m’achète pasAvec des cadeaux et de l’argentMais ça tu ne le comprendraQu’à ma mort,Ou alorsJamais…Tu préfères les autres Qu’a tes propres enfantsJe te haisEt tu est sensé être mon père ?Je ne veux pas d’un pèreComme toiAussi vil et stupideTu ne pense qu’à ton bonheurEt celui de ta nouvelle familleJe te demande de m’oublierMais je prie pour Que la culpabilité te rongeComme ton absence m’a rongéEn silenceVoilà ou j’en suisAujourd’huiMais ma situation ne serais durerMon état se dégradeJ’ai cessé de m’alimenterLes médecins ne cessent de t’avertirMais tu les ignoreTout comme moiPapa,Pourquoi tu me laisse ?Pourquoi je t’indiffère?Mais je croisQue je devrais plutôt te demanderPourquoi tu m’a crée ?Pourquoi tu m’as donné La vieLa couleur de tes cheveuxEt tes mains ?Je suffoque dans ce mondeOù je suis transparentA vos yeux Je suis mort un jour d’automneLe jour de ton anniversaireMais tu as préférerTon anniversaireA mon enterrementPersonne ne pleuraitEt toi tu riaisDe ton cotéA bientôtToi que je n’ai plus vuDepuis des annéesToi qui m’a abandonnéSans t'en soucier... James VaInvitéSujet Re désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] Sam 1 Juil 2006 - 2002 pour ma soeur,* Les plaies insupportables*Pendant un anCela a duréEt je n’ai rien faitPour t’aiderJe suis resté de marbre à tes appelsJe m’en veux tellementSi tu savaisQuand j’ai aperçut la première fois Tes bras mutilésJ’ai eut froid dans le dosLes plaies n’étaient Pas totalement cicatriséTu saignais encoreAujourd’hui je ne supportePlus ses photos de bras ensanglantésA cause de celaCar je revois toujours tes brasContinuellementDans ma têteToiMa moitiéMa chairMon sangMa sœurTu souffraisEt je ne faisais rienMais voila ma bêtiseJe n’ai rien faitJe me suis menti A moi-mêmeDe faire comme siJe ne voyais rien Je ne pouvais supporterLa douleur chaque fois Que je croisais ton regardQue tes yeux se posaient sur moiEt je pouvais lire en toiLe profond dégoût de la vieMais je ne faisais rienJe t’enfonçaisJe suis horrible, ignoble, infecteTu as survécueTout le mérite te revientTu ne t’es pas tuéMais parfoisTu me le redis Je voudrais mourir le plus vite possible »Je n’ai jamais su Quoi faire à ta détresseTrop grande pour tes petites épaulesTrop intense pour que tu la partagesJe sais que tu souffres encore aujourd’huiEn silenceMais tu visMais tu risAlors pour toiJe ne laisse rien paraîtrePour te faire honneurToi, au courage immenseMarianneToi Mon double, ma soeurAvec un caractère féroceTa schizophrénie passagèreOn a enduré tellement de chose tous les deuxJe voudrais juste te direQue je regretteEt que je t’aimeDe tout mon êtreMême si je ne te le montre pas… MarjoInvitéSujet Re désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] Mar 18 Juil 2006 - 250 Kayawi mon petit chéri, trop de temps ont séparé ma revenue,me reconnais-tu,je suis Nylie, Cathdeux personnes totalement contraire, mais qui est mit en fonction par le même Marjo, petite filettes qui ta pris plusieurs fois sous son ailes qui aurais aimé s'abreuver de tes désespoir,pour que à chaque retour chez toi je souriais de te revoirpour t'avoir donné le courage de perdurer tout se temps chez ton père et supporter toute ta famille qui voulait mainte fois l'ordi^^moi qui aimerais te prendre dans mes bras,car depuis se que je lis, je sais,qu'une partie de toi est transparente dans tout ceci...je suis moi même écrivaine, poête...je sais que quand ont écrit sait qu'on le vieje te donne mon bras, mon épaule, mon torse et puis tout mon être...je veux te voir sourir pour tout les jours à venir, tout comme moi à présent....j'ai trouvé cette flamme qui s'était éteint, mais qui avait les braise de ton amitié pour moi, et j'ai mit une buche éternelle, d'une amour identique, qui le ranine à chaque pépin de la vie....Je t'adore, souris à la vie, et si tu ne veux pas sourire à la vie, souris pour moi.... James VaInvitéSujet Re désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] Ven 11 Aoû 2006 - 1625 merci, merci...ça me touche, les mots ne viennent même pas...je suis ému, encore mercimerci pour le courage que tu m'as donné et ta joie de vivreon a partagé nos malheurs ensemble,alors partageons noitre bonheur si tu le veux bienmerci mon dieu d'etre en viepour tout ces petits momentsoù je risde vivreet que j'ai une folle enviede survivre James VaInvitéSujet Re désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] Jeu 17 Aoû 2006 - 1439 ToiLa vie est cruelleL’amour n’est pas immédiatEt pourtant je n’aime que toiEt pourtant on veille sur moiJ’ai encore cette étrange odeurDe ton corpsA l’intérieur de mon cœurDans cet esprit mortMon être se consumeQuand tu ne me regardes pas J’ai l’impression que je ne compte pasEt j’espère que sur mon cheminIl n’y aura que toiTout c’est enchaîné Nos deux corps se sont assemblésTon souffle sur ma peauTes lèvres sur les miennes Tout est alléComme je le désiraiNous nous sommes liésA jamaisTa frangeTa sérénitéTon visage d’ange Fait toute ta beautéL’amitié a périL’amour est néJe n’arrive qu’à murmurer Je t’aimeA jamais Contenu sponsoriséSujet Re désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] désir et soumissions, entre fiction et réalité[ receuil] Page 1 sur 1 Sujets similaires» ~Amies pour la vie..~ ReceuilPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. GALERIES ET CREATIONSSauter vers
je t aime et je te hais parole
Mordusde poésie? venez donc poster les votres car chacun de vos textes choisis Fait rever les autres je vous écris une des miennes, dédicassé a ma saku^^ ( bi Je t'en supplie, arrêteDe me faire tourner la têteDe me prendre ma raisonPendant des moments si longJe te hais, oui car je t'aimeTu es la cause de mes problèmesOui, je t'aime à n'en plus finirEt je passe mes soirées à souffrir Posted on Wednesday, 14 March 2012 at 807 PMEdited on Saturday, 24 March 2012 at 337 PM FollowFav Je ne te hais pas, je t'aime. By: Little Monkey Fanfic "Et elle me laisse, seule dans la cuisine, le gout de son Labello sucré fraîchement déposé sur mes lèvres. Bravo Clarke, tu as encore tout gâchée." Peut-être que finalement Clarke et Lexa ne se détestent pas Modern AU. Rated: Fiction T - French - Romance/Humor - Clarke G., Lexa - Chapters: 10 - Words: 38,120 Je t'ai oublié une fois, je peux le faire encore. Comment peut-on jouer avec le coeur des gens comme tu le fais avec moi ? Je n'ai plus envie d'être ton second choix et je préfère mourir plutôt que te demander de me faire passer en premier. Je suppose que je n'ai donc que cela à faire t'oublier rapidement. Utliser l'écriture, mon exutoire, pour me débarasser de toi ! Je t'aime. Et si l'écrire faisait passer la peine ? Et si l'écrire me permettait de t'oublier ? Je t'aime. Tu révèles le pire de moi, le plus beau aussi. L'attirance est brûlante, si forte qu'elle nous consume. Je t'aime. Tu me tues, tu me brûles, tu me détruis mais tu me rends à la vie, tu m'apaises et tu me grandis. Je t'aime et je ne suis pas d'accord. Je ne evux pas de ce sentient insupportable, je ne evux pas de cette envie de toi, de te voir, de te toucher, je ne veux pas de ces pensées qui me bousculent, te voir surgir dans mon esprit pour tout, pour rien. Je t'aime. Je t'attends mais plus pour longtemps. Je t'aime mais je veux t'oublier pour ne plus saigner ce sourire par tous les pores. Je te hais mais je rêve de ton corps, de faire briller tes yeux et brûler ton âme. Je te hais. Je t'aime. Les contours se brouillent, la différence s'efface. Tout est flou pour moi. Je sais seulement que tu m'habites et que tu es un hôte désagréable, de ceux qu'on affectionne mais qui prennent trop de place et font trop de mal. Je te hais. Je t'aime. De si beaux mots, de si beaux caractères, jamais plus vrais et brillants qu'écrits à l'encre. Je te hais et je t'aime. Et nos deux peaux s'accordent pour montrer la disgrâce de cet entre nous noir et blanc, homme et femme, haine et amour, amour et haine, lâché prise et résistance, légéreté et sérieux, désir et contrôle, empressement et lenteur. Tout nous oppose et tout nous attire, tu es partout en moi. Je te hais et je t'aime. Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous Jete hais de me haïr mais je t'aime de me le dire, de me pousser si fort quand je te tends la main. Mais je te hais que tu me hais mais je t'aime que tu m'aimes Ta folie me fait rire mais tu vois la mienne, quand tu m'aimes. J'ai froid que mes mains tremblent puisque la chaleur me manque, de ta peau contre la mienne, ta peau contre la sienne.

Paroles de la chanson Forever's Enough Traduction par BRKN LOVE Si je devais revivre ma vie Je resterais amoureux de toi comme je l’étais Rien ne peut remplacer ton amour Je ne peux pas imaginer la vie avec quelqu'un d'autre Je te promets de partager ma vie avec toi L’éternité ne suffit peut être pas, c'est vrai Mon coeur est rempli d'amour pour toi Aucun mot ne peut exprimer à quel point je t'aime Et si l’éternité ne suffit pas pour t'aimer Je passerais une autre vie à le faire, bébé Si tu me le demandes Il n'y a rien que je ne ferai pas L'éternité ne suffit pas pour t'aimer Ils disent que le futur semble si loin Et maintenant on voit que tout peut changer Mon amour pour toi devient plus fort de jour en jour Je sais que cet amour résistera à l'épreuve du temps Et si l’éternité ne suffit pas pour t'aimer Je passerais une autre vie à le faire, bébé Si tu me le demandes Il n'y a rien que je ne ferai pas L'éternité ne suffit pas pour t'aimer Pour toi, il n'y a rien que je ne ferai pas Et je ne te quitterai jamais L'éternité ne suffit pas pour t'aimer, ooh Mais si l'éternité se termine un jour Je te promets que je resterai pour te montrer Que mon amour pour toi ne finira jamais Et si l’éternité ne suffit pas pour t'aimer Je passerais une autre vie à le faire, bébé Si tu me le demandes Il n'y a rien que je ne ferai pas L'éternité ne suffit pas pour t'aimer Et si l’éternité ne suffit pas pour t'aimer Je passerais une autre vie à le faire, bébé Si tu me le demandes Il n'y a rien que je ne ferai pas L'éternité ne suffit pas pour t'aimer

Jete hais parce queje t’aime. par Attention. Je t’avais aimé au premier jour Quand t'avais ce fier sourire Tu ne voulais rien me dire ! Quand fier je te faisais la cour. Je t’avais aimé, comme je t’aime Ce jour où tu m’as accordé Le droit - te lire mon poème Mon Dieu, tu as bien rigolé ! Je peux associer chaque Final Fantasy auquel j’ai joué à une période de ma vie, dont je me rappelle absolument parfaitement. Cette réminiscence et mémoire épisodique à long terme témoignent de l’importance de cette saga pour moi. Du septième opus que je découvrais halluciné du haut de mes 13 ans, aux aventures de Noctis, aussi attendues que redoutées. Ce qui est amusant, c’est que depuis l’annonce de la mue salvatrice » de Versus XIII en XV, une petite voix intérieure me disait de me méfier et prenait même parfois la parole sur le blog ici ou là… J’ai donc fini Final Fantasy XV. A vrai dire, je l’ai même platiné, poussé par ce désir complétiste d’aller au bout d’un jeu-paradoxe, dans lequel d’immenses qualités se heurtent violemment aux aberrations d’une conception grotesque et bâtarde, accouchée dans la douleur. Les premiers instants du jeu sont inédits dans un FF. Un court flash-forward apocalyptique et dramatique magnifiée par des cœurs puissants qui rappellent Liberi Fatali. Une ouverture géniale qui introduit les personnages et fixe instantanément la relation absolue à la vie à la mort des quatre héros, confirmée quelques instants plus tard, Avant la chute » par la scène d’audience avec le roi Regis, et le départ du jeune prince pour un long voyage… En aucun cas je ne vous demande d’éduquer mon fils » dit le Monarque à Gladiolus, Prompto et Ignis. C’est pourtant bien un périple initiatique qui attend Noctis, en route pour son mariage, pour sa vie d’homme. Le passage à l’age adulte, le poids des responsabilités écrasant petit à petit l’insouciance, la reconquête d’un trône usurpé… Des thèmes porteurs d’intrigue, plutôt bien amenés et bien maîtrisés, il faut le souligner. La Regalia tombe en panne sur une jolie reprise de Stand by Me », la caméra s’élève laissant apparaître l’horizon et les possibilités d’un jeu attendu depuis si longtemps. Les lettres Final Fantasy XV se dessinent dans le ciel…Le potentiel est énorme me dis-je alors. C’est ainsi que l’exploration commence, dans le monde ouvert » je tiens à mes guillemets d’Eos. Et c’est sans conteste un des plus gros points forts du jeu qui invite constamment à la découverte, très plaisante, du Royaume de Lucis. Un Royaume malheureusement constitué uniquement de 2 villes et de stations services. Sérieusement ? Oui, sérieusement… Mais je ne vais pas commencer à énumérer les choses qui ne vont pas… Je le ferai plus bas. L’exploration est donc prenante, et tient la route grâce à l’accomplissement de quêtes secondaires souvent sans intérêt, mais permettant de voyager d’un bout à l’autre de la carte, en pilote automatique rapidement remplacé par la téléportation, histoire d’éviter de se taper 5 minutes IRL de bagnole à chaque fois. Les Gils c’est le nerf de la guerre, et notre Prince fauché va devoir bosser dur pour en gagner ! Seul moyen de s’enrichir accomplir des contrats de chasse donnés aux comptoirs des restos cheap de stations services. L’ambiance on the road » fonctionne vraiment bien, on a l’impression de tout le temps être à l’arrache, dans la débrouille… On progresse, lentement, on évolue, on construit cette complicité, cet attachement avec nos 3 compagnons de route au fil des affrontements, des dialogues et interactions bien écrits Big Up pour les doublages français au passage ! et nuits passées à camper pour assimiler les points d’expérience. Un système novateur pour la série, qui accompagne des combats placés sous le signe du Action-RPG ! On ne contrôle que Noctis, disposant de 4 armes/magies à choisir parmi un arsenal conséquent. La base est simple il suffit de laisser Rond » appuyer pour déclencher des enchaînements d’attaques, ou Carré » pour parer et contre-attaquer. A cela s’ajoutent les compétences de nos alliés, que l’on déclenche une fois la jauge d’action remplie. C’est nerveux, efficace, mais finalement assez brouillon. On est loin de la richesse des combats de la Trilogie XIII ou de la lisibilité d’un Kingdom Hearts. Même les spheriers, clin d’œil au 10e opus, s’avèrent frustrant, tant l’obtention des points CP permettant de les compléter est difficile. Je suis niveau 99 et très très très loin de les avoir fini… On passe donc des heures géniales, loin de la trame principale, courant, pêchant, explorant les environnements à coup de quêtes annexes, et de chasses au monstre. Le monde est beau, sublime. Les jeux de lumière à tomber. Moi qui n’ai pas de PS4 Pro, je peux dire que Final Fantasy XV m’a laissé bouche bée malgré un framerate inconstant, plus d’une fois devant un magnifique couché de soleil sur la plage de Galdina, ou devant l’incroyable architecture jeux de la grande Altissia, directement inspirée de Venise. Les développeurs de Square Enix ont un talent fou, et ont fait un travail formidable, c’est peu de le dire. SE fait partie des derniers studios nippon tenant encore la route techniquement, la domination du jeu mobile au pays du soleil levant ayant créé d’immenses lacunes dans le jeu vidéo japonais ces 10 dernières années. Mais c’est un autre sujet. Quand finalement, on décide de prendre notre destin de prince héritier en main, et d’avancer dans l’histoire, on comprend que la déception va être à la hauteur des promesses de cette fantaisie basée sur la réalité ». Débute alors une dégringolade narrative choquante et éprouvante, dans sa forme et dans son fond, creux, vide, indigne. La vérité apparaît aussi vite que les chapitre défilent il n’y a en fait pas grand chose à raconter. Le massacre de Tabata Il n’y a non seulement pas grand chose à raconter, mais le jeu vole d’ellipse en ellipse, de sous-entendu en sous-entendu. Pourtant, les grands moments sont bien là. On ne peut pas lui enlever ça. Des passages géniaux, incroyables, titanesques, qui font frissonner. Je pense surtout aux deux derniers chapitres, que je ne spoilerai évidemment pas, mais qui contiennent un des meilleurs combats que j’ai pu voir dans un Final Fantasy. Carrément. Les bonnes idées sont légions, comme par exemple la place et l’importance inédite des Invocations dans le jeu, mais sont gâchées par des problèmes de caméra bâclée, de cohérence, d’écriture, de suivi. Parfois tout en même temps. Je ne compte plus les personnages mal amenés, qu’on ne comprend pas, qu’on ne connait pas, et dont ne saura finalement jamais rien. La palme revenant à Lunafreya Nox Fleuret, héroïne inexistante dont la quête, les tenants et aboutissants, les implications, sont tellement mal racontés que j’ai encore du mal à saisir certains points du semblant de scénario avec lequel Hajime Tabata s’est torché. Non, on ne peut pas tout suggérer. Non, on ne peut pas justifier de telles lacunes narratives par des prétentions d’immersion ou de La vie d’un prince en fuite dans sa quête de maturité, en 15 chapitres », comme j’ai pu le lire ailleurs. Final Fantasy n’est pas une histoire qui se devine ou sur laquelle la compréhension du joueur peut-être sacrifiée sur l’autel du gameplay -imparfait-, de la quête annexe ou je ne sais quel autre Dieu du RPG. C’est une histoire qui se raconte, qui s’écrit au fil des heures passées. Une histoire que le joueur doit s’approprier, qu’il doit vivre non seulement à travers les yeux des héros, mais AUSSI derrière son écran. Une histoire dans laquelle il doit s’impliquer tout du long, et non juste au début et à la fin, là où les restes d’une ambition Shakespearienne de Nomura se font le plus sentir. Entre temps, j’ai du endurer pendant 10 chapitres cet arrière gout d’Hamlet fini à la pisse par Tabata, un homme qui n’a jamais joué à un Final Fantasy » de son propre aveu. Comment pouvait-il comprendre ce qu’on attendait de lui ? Il a choisi de jouer à l’apprenti sorcier avec un matériel mythologique énorme et culte, comblant les trous béants par du gros fan service bien gras, bien dégueulasse, fait avant tout pour draguer les adeptes. Un Final Fantasy pour les fans et les nouveaux venus » . Une énumération des codes de la série, maniés avec si peu de délicatesse. Je vous dis ça et pourtant je suis plus que fan de la saga. Quelques idées sympas comme l’autoradio passant les musiques des anciens épisodes, mais n’ayant finalement et objectivement rien à foutre là. Rien. A tel point qu’en écoutant Force Your Way, J-E-N-O-V-A, ou tout autre chef d’oeuvre musical de Nobuo Uematsu, je me suis rappelé à quel point ces anciens épisodes étaient mieux que celui auquel j’étais en train de jouer. L’effet non désirable d’une thérapie de fanboy nostalgique ratée en quelque sorte. Quand on connait la genèse de ce quinzième épisode que je vous invite à lire ici, on comprend que RIEN n’est excusable. RIEN n’est justifiable par une quelconque lecture au 6e degré que certains pourraient trouver. Non. Final Fantasy XV est un pur produit marketing dirigé sans magie, et sauvé tant bien que mal par le talent des équipes de développement. Un produit qui s’emmêle, se perd, dans un mélange des genres que personne ne veut, de Resident Evil, à Metal Gear, avec des morceaux de Monster Hunter dedans. A tel point que sous la grogne des joueurs du monde entier, le fameux chapitre 13 que paradoxalement, je n’ai pas détesté va être entièrement réécrit. Du jamais vu. On en est là. On est aussi face à un concept transmedia joliment foiré. Si le film KingsGlaive est top, et nécessaire à la compréhension du contexte politique et du lore » hahaha… pardon, son contenu est lamentablement broyé, oublié dans le jeu. Mais où est la contrée de Galahd ? Les Daemons gigantesques ? Que devient Libertus ? Et histoire d’aller au bout du bullshit tabatesque, une politique de DLC gerbante mais du coup attrayante… putain je me dégoûte a vu le jour. C’est simple nos 3 compagnons subissent chacun un événement majeur dans le jeu qui n’est absolument pas raconté ellipses encore, et encore et encore, mais qui seront dévoilés dans 3 contenus téléchargeables et payants. Je pourrais également vous parler d’Altissia, la sublime ville qui ne peut être explorée qu’à environ 10% de sa superficie supposée, ou bien du grand Royaume du Lucis, constitué de deux villes, d’une ferme chocobo et de stations services. Ou encore des innombrables choix foireux d’ergonomie comme la possibilité de n’avoir qu’une seul contrat de chasse à la fois, l’inutilité de la magie durant la seconde moitié de l’aventure, l’impossibilité de conduire automatiquement la nuit au début, la voiture sur des rails etc, etc, etc… Bref. Voila. Si vous avez lu cet énorme pavé désolé, vous devez vous dire que j’ai finalement détesté le jeu. Non. En fait j’y joue encore. C’est dingue je sais. Je l’aime, je m’y attache… Pour ces moments de bravoure, sa réalisation sublime, sa bande son épique, pour ses 4 héros géniaux, pour son invitation à l’exploration… Pour sa richesse… Ses invocations… Son propos sur la responsabilité, la maturité… Son chapitre 14…… Et puis je le hais pour ce qu’il aurait du être et ce qu’il est finalement devenu, pour ses erreurs narratives impardonnables, pour un Ardyn salement bâclé et sans envergure, comme Cor, Ravus et tant d’autres. Pour ce fan service dégoulinant, pour cette inconsistance scénaristique, pour ces scènes au potentiel gâché, pour sa caméra insupportable… Sa durée de vie ridicule… Pour Tabata qui n’a rien compris. Final Fantasy XV est unique, comme chaque épisode… Mais d’une autre façon, fascinante car clivante, imparfaite, détestable et parfois géniale. Un phénix blessé, amputé, qui renaît des cendres d’un projet chaotique. Versus XIII, je ne t’oublierai jamais.
Jeveux que Beren il vienne samediiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!¨¨ *pique sa crise et se roule par terre*
Putain, pourquoi elle répond pas ? Ouais c’est Itlem là, rappelle Tu rends ouf là rappelle Vas y j’regrette, rappelle Le printemps passe et l’amour balayé plus vite que les feuilles d’automne La routine s’installe, pas de communication la vie devient monotone Une larme de sang glisse de sa joue puis tombe sur le sol Je t’aime, mais je te hais c’est l’ironie du sort J’ai beau jouer le bourreau des cœurs Ce soir on dîne aux chandelles dans le plus beau décors J’ai refusé de nourrir ma vie de tes pleurs T’as le plus beau des visages et le plus beau des corps Je, je, je veux te demander ta main non je n’ai pas peur d’affronter le regard de ton père j’ai, j’ai, j’ai tout ce qu’il faut pour faire ton bonheur Et le mien s’il me valide et qu’il coopère Moi, j’suis peut être pas le mec parfait J’place peut être quelques disquettes par phrases Mais je t’assure que si dans ma vie tout était à refaire Je le referai j’ai trimé pour mériter ma place Moi, on m’a rien donné dans la vie, De mes mains j’ai construit le plus beau des navires Et j'échouerais seul sur une île comme Tom si celui-ci chavire Le regard vide, j'ai froid sans toi Le printemps passe et l'amour balayé plus vite que les feuilles d'automne Moi qui ne connais l'effroi, seul dans mon désarroi Une larme de sang glisse de sa joue puis tombe sur le sol Je sais qu'tu m'en veux, t'as mis le téléphone en veille C'est la faute de ma carrière, je sais qu'tu regardes les messages de la veille T’as érigé des barrières, je sais que j’laisse, Un, un, un vide dans la pièce Mais je veux qu'tu soit ma hlel, ma reine, qu'on t'appelle altesse J'ai peur de m'engager donc je fuis, c'est la faute de ma carrière Elles m'ont sucé le sang comme un vampire, j'voulais juste une reine qui tienne mon empire T’as érigé des barrières c'est toi Tu fais parti d'celles qui passent au-dessus de l'oseille et des jantes en alliage C'est bien plus qu'un flirt car devenir un homme c'est faire sa demande en mariage Un nouveau chapitre nous était destiné t'as préféré tourner la page Je t'aime, mais je te hais, de l'amour à la rage Je me rappelle t'avoir fait la cour, ce jour-là je savais déjà ce que je ressentais Oublions nos guerres cérébrales et faisons l'amour, ce soir je suis seul avec ma plume je trinque à ta santé Et toi, toi, toi qui m'a rendu malade à vie, tout ce qu'il me reste aujourd'hui ce sont des souvenirs T'as, t'as, t'as griffé mon cœur avec ta nouvelle manucure, à l'époque je n'ai rien vu venir, non Hors de question que j'reste par terre, j'espère que t'arrives à te regarder dans la glace J'ai l'impression de te sentir couler dans mes artères Je voulais te montrer les mers et faire le tour de l'Atlas Chaque fois que j'ai dû te décevoir, ma fierté ne voulait pas que je demande pardon Et je sais que tu m'en veux de t'avoir délaissé de la sorte en allant au charbon Le regard vide, j'ai froid sans toi Le printemps passe et l'amour balayé plus vite que les feuilles d'automne Moi qui ne connais l'effroi, seul dans mon désarroi Une larme de sang glisse de sa joue puis tombe sur le sol Je sais qu'tu m'en veux, t'as mis le téléphone en veille C'est la faute de ma carrière, je sais que tu regardes les messages de la veille T’as érigé des barrières, je sais que j'laisse Un, un, un vide dans la pièce Mais je veux qu'tu soit ma hlel, ma reine, qu'on t'appelle altesse J'ai peur de m'engager donc je fuis, c'est la faute de ma carrière Elles m'ont sucé le sang comme un vampire, j'voulais juste une reine qui tienne mon empire T’as érigé des barrières, c'est toi Les remords, les regrets, dis-lui qu'tu l'aimes mon pote Vas la chercher sous la pluie s'il faut Parce que quand elle sera plus là, tu comprendras pourquoi j'ai écrit ce morceau À toutes celles qu'on mérite pas Je t'aime moi non plus Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
tMhuRF0.
  • 9mtczk1taz.pages.dev/276
  • 9mtczk1taz.pages.dev/242
  • 9mtczk1taz.pages.dev/132
  • 9mtczk1taz.pages.dev/12
  • 9mtczk1taz.pages.dev/26
  • 9mtczk1taz.pages.dev/59
  • 9mtczk1taz.pages.dev/326
  • 9mtczk1taz.pages.dev/274
  • 9mtczk1taz.pages.dev/91
  • je t aime et je te hais parole